L'article de Thomas Jossen dans l'édition d'aujourd'hui du Walliser Bote offre un aperçu de liens explosifs qui suscitent de nouvelles critiques.
Notre président Andreas Kyriacou y déclare : « Je reconnais au Conseil d'Etat lucernois le fait qu'ils ont reconnu que le don n'était pas une contribution à l'utilité publique. C'est pourquoi il fallait un décret et par conséquent un débat parlementaire avec une décision. Cela a également conduit à la décision de faire l'objet d'un référendum ».
La suite de l'histoire est connue : L'Association des libres penseurs a récolté des signatures, s'est lancée dans la campagne de votation et l'a gagnée.

Valentin Abgottspon nous le promet : nous resterons à l'écoute. « Malheureusement, comme l'explique l'article, cela a été monté par diverses institutions valaisannes comme une affaire "à l’arrache». C'est presque comme si, pour « faire bouger les choses », il ne nous restait plus qu'à obtenir une modification de la Constitution.
Tout le reste est bloqué et le bureau du Grand Conseil reste lui aussi opaque. Tout cela semble assez antidémocratique et en fait en quelque sorte angoissant.
Malheureusement, il s’avère encore une fois que l’on peut toujours parler du « Vaticanton du Valais » !
Cette expression provient d'une de ses anciennes chroniques. 

Mais en Valais, il n'y a pas que la caserne du Vatican : le 27 novembre, il y a un vote important sur la loi sur les soins palliatifs et l’encadrement de la pratique de l’assistance au suicide en institution (LSPASI) Et puis il y a la révision totale de la Constitution du canton du Valais, que nous suivons de près.

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